Pénétrez dans les coulisses du temple de la féminité et découvrez le spectacle du cabaret parisien du Crazy Horse.

Au cœur de l’institution parisienne, la caméra de Frederick Wiseman suit la création de la nouvelle revue du plus avant-gardiste des cabarets parisiens.

De jour en jour, de semaine en semaine, il suit le récit d’une création saisissante à travers ses acteurs principaux : les danseuses mythiques telles que Zula Zazou, Nooka Karamel, Fiamma Rosa, Loa Vahina… les régisseurs, les costumières ainsi que Philippe Decouflé, le metteur en scène, et Ali Mahdavi, le directeur artistique du spectacle.

Produit Dvd Frederick Wiseman Crazy Horse

Le Crazy Horse comme vous ne l'avez jamais vu !

Le spectateur découvrira à travers le regard de Frederick Wiseman, un Crazy Horse tel qu’il ne l’a jamais encore vu : explorant son langage artistique, explorant ses codes mythiques, travaillant sur la vision de la femme d’aujourd’hui, pénétrant ses codes légendaires, et vivant tout simplement une magnifique aventure humaine.

« C’est un incroyable honneur pour le Crazy Horse d’avoir été saisi à travers le regard de Frederick Wiseman. Il fut le témoin discret et perspicace du travail de création, des frustrations, des doutes mais aussi de l’exaltation et des joie liées à celle-ci… réinventer le Crazy était un réel challenge et Frederick Wiseman a su capter ces moments historiques avec tendresse et discernement… » explique Andrée Deissenberg, Directrice Générale du Crazy Horse.

Mise en scène de tous les fantasmes

Frederick Wiseman, dont « Crazy Horse » est le 39ème film, ajoute à propos de cette aventure inédite : « J’ai tourné ce film pour plusieurs raisons, notamment abstraites. Je suis très intéressé par les fantasmes, et ils sont variés dans le monde du Crazy : les fantasmes du public qui vient voir ça, les fantasmes des danseuses acceptant de s’exposer presque nues, les fantasmes des actionnaires qui veulent gagner de l’argent, ceux du metteur en scène qui doit montrer ce qu’est le Désir… Toutes ces questions m’intéressent ».

Après les Venice Days le 31 août 2011, le film « Crazy Horse » a été sélectionné à Toronto (11 septembre), San Sebastian (19 septembre), New York (3 octobre), Lisbonne (20 octobre), Londres et Tokyo (dates à venir), et fût au cinéma, en France, le 5 octobre 2011 (sortie nationale).

Après la comédie française et le ballet de l'opéra de Paris

Cinéaste et documentariste américain, Frederick Wiseman s’est principalement appliqué à dresser un portrait des grandes institutions nord américaines. Ses films ont été sélectionnés et récompensés dans de très nombreux festivals à travers le monde, aux premiers rangs desquels Cannes, Venise et Berlin.

Pour son 39ème film, il lève le rideau d’une troisième institution française, après la Comédie Française et le Ballet de l’Opéra de Paris.

Le show du Crazy Horse, c’est un bouquet de tableaux iconiques interprétés avec art et sensualité par nos Crazy Girls. Mais au milieu du spectacle, le cabaret renoue avec une tradition héritée d’Alain Bernardin : inviter des artistes à se produire sur scène. Zoom sur Philippe Beau, Roman & Slava et Mister Fantastic.

Artiste Philippe Beau Crazy Horse Mark Davies 3

Philippe Beau : entre ombre et lumière

Magie et ombres chinoises, tel est le magnifique cocktail proposé par Philippe Beau. Avec une virtuosité empreinte de poésie, ses numéros sont conçus comme un véritable spectacle, où l’histoire et la mise en scène sont particulièrement travaillées. Sans un bruit, il distille un véritable ballet chorégraphié qui alterne de majestueuses et délicates créatures d’ombres créées par les mouvements fluides et experts de ses mains.

Artiste Roman et Slava Crazy Horse Mark Davies 2

Roman & Slava : époustouflantes claquettes

Jumeaux, ukrainiens, virtuoses : Roman & Slava portent l’art des claquettes à son firmament. De formation classique, ces danseurs hors pair exécutent un numéro pétillant, marqué par une parfaite symétrie et un rythme affolant. Sur des musiques actuelles, les deux frères suscitent l’admiration,  mais aussi les sourires du public : un moment de pur bonheur, qui vous donnera envie de chanter sous la pluie.

Artiste Robert Muraine Crazy Horse by Mark Davies

Mister Fantastic : l’humour et la danse comme armes absolues

Robert Muraine n’a pas usurpé son nom de scène : son numéro est vraiment fantastique. Ce contorsionniste, star du popping, impressionne par la précision et la difficulté de chacune de ses figures. Des mouvements très physiques, que le jeune homme semble réaliser sans effort, et sans se départir d’un irrésistible sens de l’humour. Son strip-tease décalé a d’ailleurs marqué les annales du Crazy Horse lors du show « Dessous Dessus ».

Dans le spectacle du Crazy Horse, chaque soir le merveilleux se marie au glamour. Mais derrière le show, la grâce et la féminité se cultivent avec un travail exigeant.

C’est la mission que porte avec passion Svetlana Konstantinova, directrice de scène et garante du mythe de la troupe des Crazy Girls depuis plus d’une décennie.

Svetlana Konstantinova, c’est une présence attentive et bienveillante qui œuvre dans l’ombre pour porter les Crazy Girls vers la lumière.

Equipe artistique Svetlana Kostantinova Crazy Horse

Quel est ton rôle au sein du Crazy Horse ?

Formée à la danse classique et à la scène depuis l’âge de 8 ans, j’ai intégré le management de la troupe du Crazy Horse en 2007. Je suis devenue show manager en 2009 et aujourd’hui je suis Directrice de Scène et de Production. Concrètement, je suis en charge de la troupe du Crazy Horse à Paris et en tournée, je garantis la qualité des spectacles soir après soir et j’assure la formation et les répétitions des Crazy Girls.

Qu’est-ce qui fait la particularité de ton travail ?

Au Crazy Horse, chaque spectacle est spécial et incomparable mais il se sert toujours du même langage  chorégraphique, qui est propre à notre Maison et unique au monde.  C’est la principale spécificité de nos shows. La cambrure, les jeux de lumières, les projections graphiques, les perruques au carré, les talons hauts et les bouches rouge écarlate, la taille spécifique de notre scène : autant d’éléments qui contribuent à créer la particularité de notre spectacle.

Les danseuses solistes sont différentes chaque soir, ce qui permet à toutes les Crazy Girls de progresser en permanence et de ne pas rentrer dans une « routine ». De plus, les numéros de groupe demandent une vraie réflexion par rapport à la taille et à la personnalité des danseuses : l’effet visuel doit être parfait. Pour me seconder, je nomme les capitaines, qui sont mes « bras droits » pendant le show : ce sont des danseuses avec de l’expérience, du caractère, qui ont le sens des responsabilités et de l’organisation.

Quel type de danseuse est une Crazy Girl ?

Pour moi, nos danseuses sont des artistes qui ne se limitent pas à effectuer une chorégraphie, mais qui soignent leur interprétation. Chaque Crazy Girl est différente, avec sa propre personnalité, et à quelque chose de spécial à offrir. C’est cela qui fait que la magie fonctionne ! Elle doit être capable de captiver seule le public, et cela passe par ce qu’exprime son corps mais aussi son état d’esprit. La Crazy Girl apporte et partage l’émotion et tout notre travail est tourné vers cela. D’ailleurs, les danseuses prennent aujourd’hui des cours de théâtre pour cultiver cette présence.

Quand elles laissent parler leurs sentiments, qu’elles les retravaillent et les offrent au public, on assiste à des moments forts en émotion et c’est ce que l’on recherche.

Danseuse Dekka Dance Crazy Horse By Riccardo Tinelli

Devenir une Crazy Girl, c’est compliqué ?

L’audition est très courte (1 minute 30) et la candidate doit improviser sur une musique prise au hasard. Ce qui va faire la différence est tout à fait subtil : cela va être sa capacité à capter la lumière, ou un petit « je ne sais quoi » qui va illuminer l’audition, parfois juste pendant un court moment, mais qui montre tout son potentiel. Le fait d’avoir si peu de temps pour convaincre permet aussi d’évaluer comment la candidate va gérer son stress, ce qui est très important pour intégrer la troupe du Crazy Horse.

Comment se passe la formation, une fois passée l’audition ?

La discipline est assez draconienne car on vise l’excellence et la beauté de l’harmonie. Du bout des ongles jusqu’à la pointe des cheveux, chaque détail compte et contribue à créer cette vision de la féminité sublimée et assumée que le Crazy Horse met en scène chaque soir.
De plus, beaucoup de Crazy Girls viennent de la danse classique, et il s’agit de sortir de cette rigueur académique pour laisser s’exprimer les courbes et la sensualité. C’est donc un réel réapprentissage de la danse qu’il faut intégrer !

Le plus emblématique est le travail sur la cambrure, qui est l’une des signatures du Crazy Horse. Mais il faut également acquérir l’ « attitude Crazy » : sa présence devant le public, la démarche, le regard, etc. Cela peut prendre des années avant qu’une nouvelle recrue devienne une « vraie » Crazy Girl : une femme libre, forte et confiante.

Lorsque le Crazy Horse collabore avec les créateurs et invités, comment t’inscris-tu dans ce travail ?

Les créateurs apportent leurs idées, ils sont présents pendant les répétitions : nous passons beaucoup de temps ensemble. Ils deviennent d’ailleurs un peu comme une famille, ils font partie de la maison. Toute la collaboration se passe dans un esprit d’échange car il faut se faire rencontrer leur vision et celle du Crazy Horse, avec son langage et son image uniques au monde. Et dans cette perspective, je veille à ce que tout fonctionne parfaitement, avec une approche qui conjugue la mise en scène et la chorégraphie.

Quels sont tes conseils aux aspirantes Crazy Girls ?

Tout d’abord il faut avoir une vraie passion pour le métier, pour la scène.

La Crazy Girl continue toujours à travailler, à chercher et à progresser en étant artiste. Elle doit aimer se montrer sur une scène et avoir confiance en elle : cela demande du courage et une certaine ouverture d’esprit.

Bien sur, elle sait aussi prendre soin d’elle et cultiver sa beauté ! Mais le rêve doit aussi faire partie de sa vie : elle cherchera à les réaliser en se fixant des objectifs et en aimant de tout son cœur ce qu’elle fait.

Danseuse Zora Moonshine Crazy Horse By Riccardo Tinelli 2

Le Crazy Horse dévoilé : l'Atelier de Couture, rencontre avec les fées aux mains d'argent.

Elles s’appellent Roselyne, Amélie et Céline et leur mission est de fabriquer du merveilleux pour sublimer les Crazy Girls. Nous avons dressé pour vous les portraits croisés de ces drôles de dames, au cœur de leur atelier de couture. Un des secrets les mieux cachés du Crazy !

Comment êtes vous devenues costumières pour le Crazy Horse ?

Roselyne : Je suis responsable du département costumes au Crazy Horse depuis 16 ans. Ce cabaret mythique m’a toujours attirée, car j’aime les « petites choses » : les costumes d’opéra ne sont pas ma tasse de thé ! Les matériaux et les techniques y sont différents : au Crazy Horse je travaille le cuir, le strass, les perles… tout en finesse et avec beaucoup de minutie.

Céline : J’ai intégré l’équipe du Crazy Horse de manière stable, après avoir collaboré sur différentes tournées du cabaret. Tout comme Roselyne, j’aime confectionner les petites pièces, et le Crazy Horse offre un espace intime et agréable pour travailler.

Amélie : Adjointe de Roselyne depuis 8 ans, j’ai travaillé dans la couture et la haute couture. Ce qui me plait particulièrement au Crazy Horse, ce sont les techniques et la grande variété de pièces à créer ou de matériaux à utiliser. C’est une approche très complète, avec beaucoup de beaux projets qui demandent de la rigueur jusque dans le moindre détail.

Comment la costumière s’inscrit-elle dans le glamour, l’ADN même du Crazy Horse ?

Roselyne : Être costumière pour le Crazy Horse, c’est chercher chaque jour à sublimer les Crazy Girls et les mettre en valeur. Pour cela, l’approche est contraire à celle d’un costume classique : il s’agit de découvrir, de souligner les formes et les courbes, et pour faire cela à la perfection, de nombreuses heures de travail sont nécessaires !

Qu’est ce qui est spécifique au Crazy Horse concernant votre métier ?

Roselyne : Mon défi quotidien est de trouver les idées et les techniques pour que les tenues soient résistantes avec très peu de matière, tout en restant chic et esthétiques. Les mouvements et la danse lors des shows mettent en effet les costumes à rude épreuve ! Le confort est également essentiel : si la Crazy Girl se sent à l’aise dans sa tenue et qu’elle a l’impression de ne rien porter, c’est que nous avons bien travaillé, en ne laissant aucun détail au hasard.

Céline : C’est au Crazy Horse que j’ai apprivoisé le cuir : sa souplesse demande une technique particulière. Je pense que la spécificité de mon travail se lit dans les tenues mêmes, qui semblent si délicates et qui sont pourtant conçues pour tenir et durer.

Scène God Save Our Bareskin Crazy Horse Antoine Poupel 1

Comment se passe votre travail avec les créateurs ?

Roselyne : C’est un moment particulier qui nécessite d’adapter la vision du créateur aux codes du Crazy Horse. Pour cela, nous passons par une esquisse, puis un dessin, qui donnera le prototype. Le créateur est avec nous à chaque essai, c’est à ces moments-là que l’on voit si la tenue convient. Cette approche artisanale est essentielle : il faut créer du rêve tout en respectant la morphologie et les mouvements de chaque danseuse.

Combien de temps est nécessaire pour fabriquer une tenue ?

Roselyne : Entre la phase de création et le moment où la tenue sera portée sur scène, il peut se passer entre 8 jours et plusieurs mois ! Et lorsqu’il s’agit de tenues pour des numéros d’ensemble, il faut en confectionner plusieurs : jusqu’à une vingtaine de danseuses peuvent être concernées. Et chaque tenue est unique, adaptée à la Crazy Girl qui la porte.

Chaque costume de scène nécessite entre 35 et 40 heures de travail. Cela dépend de beaucoup de paramètres, notamment la disponibilité des matériaux. Les tenues les plus complexe et longues à réaliser sont celles des tableaux « Attitude », « U Turn Me On », et bien sûr « God Save our Bareskin ».

De quelle qualité doit être pourvue une costumière au Crazy Horse ?

Roselyne : Le Crazy Horse est un univers vivant, en mouvement permanent. Pour y travailler avec passion, il faut s’imprégner du lieu et de son âme, c’est indispensable ! La résistance au stress est également essentielle : lorsque la tenue qu’on a créée et assemblée, est portée pour la première fois sur scène, on a toutes une petite boule au ventre car elle ne doit absolument pas bouger ! Bien sûr, nous mettons tout notre professionnalisme et notre minutie en œuvre pour que cela n’arrive jamais.

Amélie : Une costumière au Crazy Horse  doit être patiente, méticuleuse, précise, et comprendre ce qui ne s’explique pas : l’atmosphère, le lieu, l’esprit. Sa sensibilité doit bien sûr être en adéquation avec l’ADN du Crazy Horse.

Céline : Notre quotidien est fait d’une multitude de petites tâches, et de détails à gérer. Il faut avoir beaucoup d’adaptabilité et de réactivité.

Quel est votre costume préféré ?

Roselyne : J’ai un faible pour celui des « Glamazones », créé par Antoine Kruk pour le show « Désirs ». Ce costume transforme la Crazy Girl en une superbe amazone : une tenue surprenante, forte, très actuelle.
Et la tenue qu’Amélie, Céline et moi-même aimons par-dessus tout, parce qu’elle est mythique et parce que la réaliser est un travail passionnant, c’est bien sûr la tenue de garde anglaise du mythique numéro d’ouverture « God Save our Bareskin » !

Émerveillez-vous devant le travail de nos costumières en assistant à notre show « Totally Crazy » !

Le Fonds de Dotation EREEL gère le programme Souffle de Violette, auquel le Crazy Horse s’associe depuis plus de 10 ans. Une "belle histoire de femmes", initiée avec Christine Salaun-Chevalier, Présidente Fondatrice d’Ereel.

« Souffle de Violette » : retrouver sa féminité et le lien social

Ce programme, piloté par le Fonds de Dotation EREEL, s’attache notamment à accompagner les femmes touchées par le cancer, jusqu’à 3 ans après la maladie, en dehors du milieu hospitalier. Des milliers de femmes, de toute la France, sont soutenues par un réseau de plus de 200 bénévoles professionnels sur des actions ciblées.

Il propose ainsi gratuitement des soins en podologie, des cours d’auto-maquillage, des soins du visage et du corps, une aide au retour à l’emploi, un accompagnement juridique, des cours de cuisine alimentation-santé, un accompagnement des aidants et plus encore. Chaque femme choisit le ou les ateliers auquel elle souhaite participer.

L’objectif de ce programme et des ateliers, est de favoriser ou de reconstruire le lien social pour ces femmes qui sont bien souvent fragilisées et atteintes au cœur même de leur féminité. En toute simplicité et confidentialité.

Le Crazy Horse, partenaire de « Souffle de Violette »

C’est depuis 2011 que le Crazy Horse participe aux actions de Souffle de Violette. Outre Souffle de Violette, le Fonds de Dotation Ereel soutient également des fondations. La toute première rencontre a eu lieu quand un jeune homme atteint de myopathie a exprimé le souhait d’aller au Crazy Horse et a été accueilli par les équipes du cabaret le temps d’une magnifique soirée. C’est à cette occasion que des liens forts se sont créés avec Christine Salaun-Chevalier.

Depuis, entre les Crazy Girls et Souffle de Violette, c’est une belle histoire de femmes qui se construit jour après jour.  Cours de démarches et photos avec les "Violettes"  à l’occasion d’Octobre Rose et autres évènements, ateliers de cuisine, maquillage "Crazy" lors d’une "beauty party", les occasions sont nombreuses et les danseuses n’hésitent pas à s’investir.

"Pour nos malades, côtoyer les Crazy Girls, sublimes et douces, est précieux car cela leur redonne confiance et leur permet de révéler ou de retrouver leur féminité."

Christine Salaun-Chevalier 

Le Crazy Horse s’investit aussi grâce à son perruquier, Raphaël Knafo, qui fournit perruques, soins et conseils personnalisés à chaque femme suivie par le programme. Le cabaret met également à disposition sa salle et ses artistes pour la soirée annuelle de gala de Souffle de Violette.

Le programme « Souffle de Violette » vous séduit ?

Fiançailles, EVJF, anniversaire de mariage...
Célébrez l'amour au Crazy
Quel est le point commun entre se fiancer, enterrer sa vie de jeune fille ou célébrer ses noces de porcelaine ? L’amour et la fête bien sûr ! Ces moments inoubliables, venez les vivre au cœur du glamour parisien, le Crazy Horse ! Beyoncé et le clan Kardashian  l’ont fait, pourquoi pas vous ?
> Je surprends l'être aimé

Des fiançailles aux sublimes promesses

 L’engagement d’une vie commence par le premier vœu : celui des fiançailles.  C’est un moment à la fois grave et émouvant, où l’on aime que les codes soient respectés. Votre amour à genoux, un écrin dans sa main, vos lèvres qui tremblent et vos yeux qui brillent d’émotion, c’est juste magique.

Quel plus bel endroit pour déclarer sa flamme et pour échanger le premier « oui » que le Crazy Horse ?

Beyoncé n’a pas hésité, et voici pourquoi : « Le jour de nos fiançailles était aussi celui de l’anniversaire de mon mari. Je l’ai emmené au Crazy Horse et je me souviens avoir pensé ‘Wow, ces filles sont canons !’ Et pour moi c’était le sexy show ultime, je voulais être sur scène et danser pour mon mari ».

Scène Rougir de Désir Crazy Horse By Ricardo Tinelli
Scene Attitude Crazy Horse By Remi Desclaux

Un EVJF 100% glamour

En symbiose avec vos amies, l’EVJF est la fête qui marque véritablement l’entrée dans les liens d’une union si attendue. L’enterrement de vie de jeune fille célèbre avant tout la complicité entre filles, la chaleur et la singularité de votre famille de cœur, l’émotion et la puissance des sentiments.

Offrez-vous un moment d’exception, entre grâce et glamour, avec le show du Crazy à déguster toutes ensemble (autour de coupes de champagne et de gourmandises) : une féminité sublimée et assumée, qui sans aucun doute fera écho longtemps dans votre vie. Avant d’épouser Kanye West, Kim Kardashian avait d’ailleurs choisi le Crazy pour une soirée entre filles avec ses sœurs !

Anniversaire de mariage : de si belles noces

 La force d’un engagement, c’est  aussi sa durée. Chaque année, c’est un peu plus de temps passé avec son âme sœur, pour le meilleur, et surtout le meilleur ! Que les noces soient de soie, de satin, d’ambre, de rubis, d’or ou de diamant, peu importe la durée, pourvu que l’amour soit fort.

Pour fêter votre anniversaire de mariage, offrez-vous une soirée d’exception en amoureux et prenez place dans la salle du  mythique cabaret du Crazy Horse : célébrez la pérennité de votre union avec quelques bulles de champagne et le pétillant show du Crazy ! Chrissy Teigen et John Legend y ont fêté leurs noces de coton, pourquoi pas vous ?

Choisissez votre formule ou contactez-nous pour que votre soirée soit inoubliable !

L’expression artistique, sous toutes ses formes, est le délicat fil conducteur de la vie de notre pétillante Bamby Splish Splash. Nous vous la présentons.

Backstage Bamby Splish Splash by Pixelle Canon

Comment et pourquoi avez-vous intégré la prestigieuse troupe des Crazy Girls ?

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu être une artiste ! Je crois d’ailleurs que je le savais dès ma naissance. C’est plus qu’une envie, une véritable vocation. Le Crazy Horse m’attirait énormément car il est un lieu privilégié d’expression artistique. Très différent des autres cabarets, le Crazy Horse a une signature unique : original et atypique, il met vraiment l’artiste en valeur.

Pour devenir Crazy Girl, il m’a fallu un peu de temps. Je m’étais promis qu’à mes 18 ans je tenterai ma chance mais j’avais très peur de ne pas être choisie. En effet, comme je ne suis pas issue d’une formation classique dans le monde du spectacle, je ne pensais pas avoir le bagage nécessaire, même si j’ai toujours fait du théâtre et de la danse.

Finalement, à 19 ans, le 1er janvier 2015, j’ai envoyé ma candidature en me disant « qui ne tente rien n’a rien ». Un joli hasard a fait que le lendemain était organisée une audition dans ma ville natale, j’ai pris cela comme un signe du destin, j’y suis allée…et j’ai été retenue ! J’ai commencé par une tournée à Séoul, ce qui est assez atypique pour des débuts, avant de fouler pour la première fois la mythique scène parisienne du Crazy Horse près d’un an plus tard.

Que faites-vous lorsque vous n’êtes pas sur scène ?

J’ai eu le privilège de pouvoir créer une série de pins pour le Crazy Horse : la perruque iconique des Crazy Girls y est déclinée en huit couleurs différentes. J’ai d’abord choisi le noir, le bleu, le rose et le jaune, puis j’ai rajouté le vert et le rouge, et mes deux dernières créations sont de couleur violette et orange.

J’ai très vite trouvé une autre manière de m’exprimer, car c’est un aspect essentiel de ma vie. J’avais incarné des princesses chez Disney, et j’y ai découvert un monde qui m’a fascinée, celui des pins. J’ai commencé à en acheter, à suivre des créatrices sur Instagram… J’avais des idées en tête, et bien envie de les concrétiser. C’est ainsi qu’est née ma marque, Bamby Original.

Quel est votre tableau préféré et pourquoi ?

Difficile d’en choisir un seul, j’adore Chain Gang et Lay Laser Lay. Ces deux tableaux ont en commun d’offrir une belle liberté d’interprétation. Ils laissent beaucoup de place à l’évolution, à l’expression de ce qui est en moi et que j’ai envie de partager. La sensualité sauvage, presque animale, de Lay Laser Lay est pour moi quelque chose de puissant, que j’aime m’approprier.

Qu’est ce qui qualifie selon vous la Crazy Girl ?

La Crazy Girl est pour moi une somme de trois « C » : classe, charisme et cambrure. Mais évidemment, être une Crazy Girl c’est bien plus que cela ! Ce qui est important aussi, c’est que ma part « Crazy Girl » et mon « autre moi » ne font qu’un. Même si je joue un rôle sur scène, j’y emmène mon vécu, mes émotions, je suis toujours sincère et en parfaite harmonie avec moi-même. J’ai d’ailleurs beaucoup d’admiration pour les femmes en général, particulièrement pour ma tante dont la force impose le respect…et pour mes collègues Crazy Girls !

Venez découvrir notre Bamby Splish-Splash dans le show Totally Crazy!, retrouvez également ses créations à la boutique du Crazy Horse au 12 avenue George V, Paris 8ème.

Le Crazy Horse, le plus avant-gardiste des cabarets parisiens, continue de se réinventer !

La cuvée Crazy Horse un 100 % Chardonnay ; la robe or clair révèle une belle complexité sur des notes d’agrumes et de fleurs blanches.

La cuvée Crazy est sélectionnée parmi nos plus beaux terroirs et reflète ainsi la pureté et la féminité d’un Grand Champagne

D’un bel équilibre et d’une vivacité persistance, La cuvée Crazy émerveillera vos papilles du début à la fin du spectacle.

Découvrez la bouteille Cuvée Crazy

Le célèbre designer américain Hilton McConnico, qui a créé l’habillage de la bouteille Cuvée Crazy, explique « qu’il s’agit d’une grande bouche, surréaliste, intrigante, mystérieuse, gourmande et poivrée d’humour. Elle est une évidence. La bouche est prête à accueillir la chanson pétillante des bulles de champagne. »

La Cuvée Crazy est à déguster chaque soir au Crazy Horse !

Elle est également en vente à la boutique du cabaret et disponible dans plusieurs formules à découvrir.

Danseuse Dekka Dance Crazy Horse By Riccardo Tinelli

Le Saviez-vous ?

Chaque danseuse est baptisée d’un nom de scène lors de son entrée au Crazy Horse

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Secrets, anecdotes, envers du décor… les danseuses mythiques du Crazy Horse effeuillent les dessous de leur cabaret et vous racontent son histoire à travers une visite très privée, pleine de surprises.

Elles sont quatre à faire vivre la « Crazy Experience » : Enny GmaticMika Do, Kika Revolver et Gloria di Parma, qui font découvrir à tour de rôle le cabaret et ses petits secrets.

D’une classe absolue, elles arborent une jupe crayon signée Fifi Chachnil qui met en valeur leurs courbes parfaites, un chemisier blanc en soie, et bien entendu elles sont chaussées de vertigineux escarpins Louboutin. Une tenue qui met de suite en ambiance Crazy,  puisque elle est directement inspirée d’un tableau iconique signé Philippe Decouflé, « Crisis ? What Crisis ! ».  Féminines jusqu’au bout de leur chevelure, vos sublimes guides à la découverte de l’univers du Crazy Horse, dégagent à la fois l’assurance de leur beauté et une douceur inattendue. Très accessibles, elles vous mettront immédiatement à l’aise.

Un univers feutré : le Crazy Horse lève le voile

La visite débutera par l’antichambre du Crazy. Vous découvrirez un univers feutré, à dominante rose et rouge, élégant et unique. Ici, chaque détail compte et rien n’est laissé au hasard. La visite des toilettes femmes vous fera sourire, et pour cause, ce sont des toilettes complètement atypiques, mais chut, nous n’en dirons pas plus.

En entrant dans la salle, vous verrez sans doute les techniciens s’affairer, les bouteilles de champagne mises au frais : une effervescence maîtrisée pour que tout soit parfait à l’arrivée du public. Vous savourerez la chance d’avoir le cabaret rien que pour vous l’espace d’un instant précieux. Tout près de la scène, votre Crazy Girl répondra à vos questions : quelle taille fait la scène, est-ce que les danseuses voient le public pendant le show…. Raconter « son » Crazy Horse est un réel plaisir pour elle, vous le constaterez !

Toute l'âme du cabaret : l'essence même du glamour

heure du show approchant, la visite touchera à sa fin. Vous partagerez une coupe de champagne et des petits fours autour de votre charmante hôtesse. Une dernière photo souvenir et elle regagnera les quartiers privés des danseuses, tandis que vous rejoindrez la salle pour savourer, avec un œil désormais différent, le show « Totally Crazy ».

En pratique 

La « Crazy Experience » est un moment unique : les groupes sont composés de 16 personnes maximum pour apprécier au mieux la visite. Vous êtes accueillis à 1h avant le show, pour une heure de ravissement complet (qui se termine en beauté avec champagne et petits fours), avant de rejoindre la salle pour assister au show en mode VIP.

Pour profiter encore plus intensément du show avant le lever du rideau !

Une heure d’immersion totale, jusque dans les espaces backstage, où vous attendent champagne et petits fours !

Début de la visite : La Crazy Expérience peut commencer. Velours, laques, jeux de miroirs… en rouge et noir, les moindres recoins de ce haut lieu des soirées parisiennes dévoilent leur grande et petite histoire. Même les toilettes, de style Art Déco, réservent de belles surprises.

Mais chut ! Nous en avons assez dit ! Champagne pour tout le monde ! Autour de quelques coupes et d’une exquise sélection de petits fours, les bulles de rêves éclatent comme des étoiles…

Il est l’heure pour les danseuses de rejoindre les loges qui leur sont exclusivement réservées. Dans quelques instants, sur scène, les courbes parfaites de leurs corps sensuels seront sous les feux de la rampe, subtilement tatoués de lumière…

Les sens aiguisés par la folle expérience que nous venons de vivre, regagnons la place privilégiée qui nous est réservée en salle et profitons de la demi-bouteille de Cuvée Crazy mise à notre disposition.

Derrière le rideau, l’élite de la séduction, de l’espièglerie et de l’impertinence s’apprête à exécuter les numéros les plus sexy chic de la capitale.
Noir. Musique. Que le spectacle commence !

La Crazy Expérience

Nombre de personnes :
16 maximum.

L’offre :
Accueil exclusif
Visite du cabaret et des backstages présentés par une danseuse
Cocktail dans le salon privé « Bernardin » autour de deux coupes de champagne et d’une sélection d’amuse-bouches
Placement VIP en salle, 1/2 bouteille de champagne « Cuvée Crazy »

Prix :
275 euros par personne

Quand :

En français, tous les vendredis et samedis
En anglais tous les dimanches

Pensez-y pour vos cadeaux mais attention les places sont limitées, ne tardez pas à réserver votre soirée !

Vous aimeriez une visite encore plus exclusive ? La « Crazy Experience » peut se privatiser pour s’adapter à votre souhait.

Icônes sensuelles, elle portent la féminité à son apogée : découvrez les routines beauté et les conseils des danseuses du Crazy Horse.

A appliquer au quotidien sans modération !

Bien dans son corps : le premier geste beauté

Afficher un corps galbé, harmonieux, tonique, c’est l’essence même de la beauté et de la féminité. Mais cela demande, en plus de la grâce initiale, du travail. Les danseuses du Crazy le savent bien : elles dansent 5 à 6 soirs par semaine, sans oublier les préparations et les répétitions. Elles ont toutes suivi une formation de danse classique avant d’intégrer le cabaret, et ont ainsi développé un « capital forme » qu’elles entretiennent tout au long de l’année.

Le sport est évidemment très important pour sculpter une silhouette de rêve…et la conserver ! Mais pas question de développer la musculature de manière trop apparente : pour travailler le délié, la fermeté, et notamment la fameuse cambrure qui est la marque de fabrique même du Crazy Horse, les danseuses ont leurs petits secrets :

La beauté vient de l'intérieur

Pour avoir un corps en pleine santé, il faut aussi le chouchouter de l’intérieur. Si les danseuses ne suivent aucun régime, elles suivent des cours avec un naturopathe pour équilibrer leurs plats.

Pour une peau lisse et ferme, l’hydratation est fondamentale : au moins deux à trois litres d’eau par jour, et manger le moins salé possible.

Faire du bien à son corps et à son esprit, c’est aussi rire, vivre, s’émerveiller : plus qu’une astuce beauté, c’est une façon d’être qui fait rayonner la féminité !